Un de mes préférés du moment.
Designed and created by Josephine R. Unglaub
via Pear on a Cruise. — lemanshots – Fine Pictures and Digital Art
Je vois naître un nouveau monde. Je veux le connaître. Je veux le peindre.
Catégorie : Liens
Un de mes préférés du moment.
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Il a vu la lune. Est-ce que ça intéresse quelqu’un ? Non vraiment ça n’intéresse personne. Je ne mets pas de l’argent dans la poubelle. Les freins ont lâché et n’ont aucun rapport avec les blocages mais avec la direction assistée. Quelqu’un a un problème de gestion et heureusement je m’en fous. Chacun son tour.
Apparaît sur le papier un nu que la lumière couvre à moitié. Je l’ai laissée lézarder jusqu’à temps que le portrait prenne visage et nom. Daphné. Il va être écrit sur le vêtement. Et je signerais dans la pierre dans sa nouvelle version. Le mot de passe du projet reste ‘Le nid d’amour’.
Heureuses vacances !!
Un petit-déjeuner avec de quoi remplir l’estomac pendant que tourne les sujets des prochaines créations. Je vois des fleurs dans les abstraits. La présence du soleil m’a désigné des fruits et des visages à éparpiller un peu partout comme une prairie fleurie. Je sais faire ça. Le vieux Moleskine est ressorti avec le portrait de Krishnamurti. Antoine Bourdelle avait fait son portrait.
Salut.
Asia Argento dans le film ‘Le syndrome de Stendhal’
Dario Argento : Le syndrome de Stendhal (1977).
Dans le cinéma, il n’y a pas beaucoup de films où la littérature et la peinture sont aussi proches et savent émouvoir.
Grand réalisateur italien avec toujours des personnages qui ont du caractère et de la profondeur. Le syndrome de Stendhal est une adaptation réussie. J’ai lu il y a des années les voyages en Italie de Stendhal qui m’ont énormément marqués. Dario Argento fait jouer sa fille Asia Argento, une excellente actrice qui de film en film malgré les atrocités que son père peut lui inventer réussie à garder la vie sauve.
Journée mondiale du vélo, aujourd’hui, jeudi 3 juin 2021. J’ai vu ce tableau au Petit Palais à Paris. C’était pour une séance de dessin avec un petit groupe de fans. Nous cherchions les correspondances avec nos vies et avions fait notre trou devant ce qui nous y faisait penser. L’organisatrice voulait m’imposer un autre tableau avec une femme plus agée allongée dans des vêtements du soir. Cela m’a perturbée et je n’ai pas pu dessiner la jeune fille et son vélo. J’ai fait le portrait d’une poétesse me sentant obligée de tracer des lignes en souterrain. En remontant à la surface, que vois-je ce matin sur mon ordinateur ? En bicyclette au Vésinet. Quel hasard. J’espère que c’est une bonne journée pour vous comme pour moi.
Le butô est appelé « danse des ténèbres », littéralement « mouvements compulsifs dans l’obscurité », il est né en 1959 au Japon et prend sa source aux heures les plus noires d’Hiroshima et de Nagasaki. Les cendres et les morts venus de la bombe H ont laissé le pays dans le noir de nombreuses années. Avancer et mémoriser devient un enjeu essentiel pour le pays qui entre en résistance. Il sera au début mal accueilli par son pays d’origine et fera découvrir aux occidentaux déjà habitués à cette danse, soeur de chorégraphies nées pendant et après la seconde guerre mondiale (la mort, la sorcière, de Vakeska Gert pour n’en citer qu’une). Viendront en France des artistes comme Kazuo Ohno, Carlotta Ikeda, Ushio Amagatsu, très désireux de faire connaître ce courant. Avec les générations suivantes, le Butô étend son répertoire à la fois classique et contemporain. Il invite les danseurs amateurs et professionnels à passer la porte d’un studio de danse et essayer.
Medea
Ushio Amagatsu 2013
« … , mais le fait de « penser » avec sa tête entrave les mouvements du corps et leur fait perdre ce qu’ils ont de naturel. C’est pourquoi il faut faire en sorte de rester le plus inconscient possible sur scène.»
« Sur ces montagnes où ne pousse aucune herbe, cherchant mes pensées au milieu des souffrances, je me prends à devenir un fantôme. » Kazuo Ohno, notes manuscrites de La Mer Morte / The Dead Sea
Description de la butô-thérapie.
Libérer ses démons. « … concerne l’accompagnement de personnes touchées par des douleurs physiques chroniques, par des douleurs émotionnelles, la fibromyalgie, l’anorexie, et tant d’autres pathologies. »
La « Butô-thérapie »
An information ace.*
J’ai fini de le lire pendant une pause. Ça me plaît. ❤️
Une des conséquences venant du coronavirus est que la vue du paysage et de la foule dans la rue rendent tristes. J’ai rouvert un livre de photos et suis tombée sur une journée quelque part dans le temps à Pantin. La ville est au nord de Paris, juste à côté de la Géode et de la Cité des Sciences et de l’Industrie. Si les centres culturels ne sont pas tous ouverts, ce n’est pas plus mal. On peut visiter ses villes autrement. À Pantin, au bord de l’Ourcq, je vais habituellement au CND. Le bâtiment est superbe et retire toute distraction inutile en phase créative. Je ne sais pas de qui sont ses yeux ni même s’ils seront là pour la vie. Ils sont nombreux et leurs variations en font des notes de musique choc! Est-ce que vous les entendez ? Je suis sûre que oui! Ils veulent continuer d’éclairer le monde, de sonner le rappel en musique, en peinture, en danse. La littérature est là en arrière pour les rattraper car ils volent dans tous les sens et se perdent dans leur art. 💚💕