
Je n’arrive pas à commencer quelque chose de nouveau. Les projets en cours continuent de s’entasser. Il y en a tant que les compter est presque mission impossible. Alors à la Pentecôte, j’ai réouvert le carnet de dessins pour un nouveau L’après vie aux crayons de couleurs.
Le résultat me surprend : est-il de moi ? Je me le demande.
Il est possible que son intérêt le fasse exister sans moi.