
La spirale

Je vois naître un nouveau monde. Je veux le connaître. Je veux le peindre.
Étiquette : noir et blanc
Une photo prise par mon père le jour de mes un an avec ma marraine. J’ai de bons souvenirs sur ces premières années souvent éclairées à la bougie. Il y avait de la magie en forêt et à la maison.
On me demande quelque fois de peindre mon atelier et de me peindre dans mon atelier. Je ne sais pas si c’est ce qu’on appelle une carte de visite. L’exercice est séduisant et va bien dans un book.
Je suis dans mon art. Dans ma création. Un jour les cahiers se ressemblent assez pour être rassemblés.
Il ne faut pas séparer les éléments. La couleur du jour à donné le titre aux dessins : bonté. Je n’arrive pas encore à faire se coïncider les deux. À 17 ans, je voulais être écrivain pas peintre. Cela m’amuse de penser en écrivant la tournure que pourrait prendre le dessin. En train d’écrire, entourée de mes livres, posters, musiques et ce bocal de spaghettis vide avec des pinceaux dont je ne sais pas à quoi ils servent.
Très bonne journée !! 🙂
Fait au musée des Beaux-Arts de Rouen fin 2016.
Je n’ai pas noté le nom du tableau sur le moment. D’ici quelques jours, je devrais le retrouver par la magie des réseaux. Mais il a quelque chose de spécial. Le dos et le visage font très Ingres.
Les peintres font parler les écrivains. J’aime bien cet angle pour apprendre à nous connaître. Ce n’est pas une biographie mais une source d’inspiration. C’est enrichissant intellectuellement. Stimulant aussi. Les peintres font aussi dessiner les écrivains. Mais où allons-nous ?
merci André, Kelsey et les autres …
Deux profils très différents. 🙂
Profil droit. Ma mère me trouve dure, les autres me trouvent douce sur ce portrait. Qui croire ? La perception des choses et des personnes est terrible.
Profil gauche. Mon père n’a rien à dire, ni mon frère, les autres me disent ressembler à un elfe. Mais où allons-nous ? L’imagination des lieux et des époques est communicative car en entendant cela je me mets à penser. Faery.
Deux personnes en une. Des amis disent que je suis duelle. Soit souvent en lutte avec moi-même. Je suis muette. Cela me ressemble quand même beaucoup.
En retour si vous le souhaitez écrivez-moi quelle image les autres ont de vous ? Je sais cela demande un peu de temps. Mais pas trop.
Très bonne journée.
Un peu de lecture. Un peu de dessin. Un peu d’air. À l’atelier, la table de travail a totalement revue sa configuration. Il m’a fallu tout retourner, les meubles en priorité, les cartons à dessins en second. Je ne suis pas restée pour regarder le résultat. J’ai préféré sortir avant de regretter mon geste. J’ai bien fais car j’ai eu de nouvelles idées pour compléter mon organisation. Je les ai laissé dormir avant de pouvoir les utiliser.
Aujourd’hui en images vous avez un chat perché qui aime la compagnie des magnolias, deux dessins d’atelier datant de 2012 et un livre qui sort de l’ordinaire.
Les peintres font parler les écrivains. J’aime bien cet angle pour apprendre à nous connaître. Ce n’est pas une biographie mais une source d’inspiration. C’est très enrichissant intellectuellement. C’est stimulant aussi. Les peintres font aussi dessiner les écrivains. Mais où allons-nous ?
merci André, Kelsey et les autres …
Étude autour des yeux.
D’Yeux & Moi, crayon graphite, 2015.
Études réalisées à partir de postures de danse sacrée indienne. La codification des yeux et des mains est très intéressante quand elle doit être dirigée pour s’exprimer. C’est être un passeur. J’ai lu sur les danses et rituels du folklore. Inde, colonies des Îles, France, Italie, Angleterre, Belgique. J’y reviens car je sais qu’il y a quelque chose dans le présent qui m’y entraîne. Je crois pouvoir au moins contrôler cela : l’élan.